“Cela ne se déroule pas : ça s’enroule, se noue autour de points d’ancrage, pour former un labyrinthe fascinant de notes, isolées ou en grappes, prolongées par l’action de la pédale ou brèves, se détachant sur le discret martèlement des marteaux. Un très grand moment, une merveille ! (…) Notes longues, tenues très souvent au début, aérées de silences. Ce sont les premières gouttes, erratiques, qui tombent parfois par deux ou trois, une plus grosse avec une ou deux petites. Elles rebondissent plus ou moins sur le sol, selon l’endroit de leur chute. Puis la pluie s’intensifie, elle chante, s’étage…elle recouvre le monde avec éclat, avec douceur, dans un réseau de transparences liquides, de petites et multiples fulgurances. Elle tombe où elle veut, à son rythme, pusiqu’elle est le rythme même. C’est une pièce forte, exquise, adorable qui signe la réussite de l’entreprise de Jocelyn Robert.”
http://inactuelles.over-blog.com/2014/03/jocelyn-robert-piano-disklavier.html
“Robert’s approach is refreshing in its sparseness, using the Disklavier to evoke an almost piano-as-wind-chimes aesthetic. What Robert embraces in his music is an underlying nature and humanity. The textures get thick at times and while portions of each piece might be playable by a human many portions are not. The fact that my ear loses the exact moment when that possible/impossible shift occurs makes me like this disc even more.”
http://www.sequenza21.com/cdreviews/2013/01/jocelyn-robert-immobile/
Voir / See http://www.cdbaby.com/cd/jocelynrobert